L’homéopathie est un système thérapeutique basé sur trois principes fondamentaux : la similitude (similia similibus curantur), la dose infinitésimale (en décimales de Hahnemann, XH, ou en centésimales de Hahnemann, CH) et l’individualisation de la méthode (symptomatologie, histoire médicale et de vie, état physique et psychologique). Les médicaments homéopathiques sont fabriqués à partir de dilutions ultra-activées séquentielles de «souches». Le traitement donné au patient provoque chez une personne saine les symptômes qui vont neutraliser chez une personne malade. On prépare systématiquement les composés en diluant la substance active dans l’eau et l’alcool, en agitant vigoureusement entre les dilutions. La substance active peut être d’origine végétale, minérale ou animale.
Depuis sa création, l’homéopathie fait l’objet de discussions entre scientifiques et experts dans les domaines de la médecine et de la pharmacologie, mais l’utilisation des connaissances est déjà une réalité dans de nombreux pays, développés et sous-développés. Selon la situation actuelle, la principale préoccupation est d’améliorer la qualité de la pharmacothérapie, ce qui est dans l’intérêt commun des autorités sanitaires, des professionnels, des patients et de la société dans son ensemble.
L’efficacité et la sécurité de ces traitements sont liées aux caractéristiques physico-chimiques et de composition des espèces actives dans les dilutions. La spectrophotométrie UV-visible est une technique analytique économique, efficace et rapide permettant de caractériser les solutions quelle que soit la dilution de l’échantillon ou la nature de l’échantillon. Un outil idéal pour analyser la différence entre les propriétés des solutions extrêmement diluées, comme les solutions homéopathiques. Elle est basée sur le fait que les molécules absorbent le rayonnement électromagnétique qui affecte le matériau, et que la quantité de lumière absorbée dépend linéairement de la concentration. Les médicaments homéopathiques nécessitent une longueur d’onde plus longue que les autres substances parce qu’ils sont dans un état ultra-dilué. L’utilisation de cette technique d’analyse a généré des contributions pertinentes au processus de caractérisation de ce type de composés.
Aspects à prendre en compte lors de l’utilisation du spectrophotomètre UV-visible
- Normaliser la méthode d’analyse : consiste à vérifier et documenter le degré de sécurité qui permet la traçabilité stricte des résultats. Des données précises et précises, conformes aux spécifications et aux attributs de qualité requis pour être utilisées comme traitement. La méthode doit détecter la présence d’erreurs émises, les critères à contrecarrer peuvent être statistiques.
- Linéarité et portée : il s’agit de caractéristiques à évaluer à partir de l’équipement à utiliser pour la caractérisation. Il est important de connaître les intervalles dans lesquels les limites de concentration de la méthode d’analyse perdent leur linéarité. Il est recommandé d’utiliser des méthodes statistiques pour son évaluation, en mesurant au moins quatre échantillons.
- Précision : Ce paramètre exprime le degré de dispersion entre une série de mesures de prises multiples dues à des erreurs aléatoires inhérentes à la méthode d’essai.
- Précision : Cette caractéristique dépend de la matrice de l’échantillon, du procédé de préparation et de la concentration de l’analyte dans l’échantillon. Un excès se produit lorsqu’il y a interférence et que la sélectivité de la méthode n’est pas adéquate, ce qui suggère par défaut que la matrice est complexe et que l’extraction de l’analyte nécessite un processus plus poussé.
- Limite de détection : définie comme la quantité minimale d’analyte dans l’échantillon que l’ordinateur peut détecter.
- Limite de quantification de la méthode : quantité minimale d’analyte présente dans l’échantillon qui peut être quantifiée dans des conditions expérimentales.
- Sensibilité : définie par la capacité à distinguer entre différentes concentrations, elle mesure le facteur de réponse de l’instrument en fonction de la concentration. La réponse de concentration est une fonction linéaire.
Méthodes de quantification d’analytes avec spectrophotomètres UV-visible
En fonction des caractéristiques de l’analyse, différentes méthodes peuvent être utilisées :
- Méthode du rapport signal sur bruit : elle est principalement réalisée à l’aide du spectrophotomètre UV-visible. Elle nécessite que la procédure fournisse un signal blanc, un bruit de fond ou une ligne de base, c’est-à-dire un signal résiduel à concentration d’analyte nulle.
- Méthode d’écart type de la réponse à blanc et pente de la ligne d’étalonnage : la limite de détection et la limite de quantification de la méthode peuvent être calculées en connaissant l’écart type attribué à la réponse de l’échantillon et la pente de la ligne d’étalonnage de l’analyte. L’expression mathématique pour ajuster le signal se fait en fonction de l’équipement, dans ce cas le spectrophotomètre UV-visible.
- Méthode d’extrapolation de la ligne d’étalonnage à concentration nulle : en utilisant la pente de la ligne d’étalonnage, la valeur réelle du blanc est remplacée et extrapolée à partir de la ligne d’étalonnage.
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