
Plusieurs études ces derniers mois ont annoncé l’émergence de nouvelles bactéries qui sont devenues résistantes aux antibiotiques existants, touchant ainsi la santé au niveau mondial. Ceci représente donc un défi pour les modèles chimiques et pharmaceutiques destinés à des traitements adaptés à chaque infection, présentée par les patients.
Toutefois, une nouvelle découverte a été faite par des scientifiques de l’Université de Washintong qui a montré qu’actuellement de nouveaux microbes décomposaient la base de la Pénicilline et exploitaient certaines de ses propriétés pour renforcer leur présence dans le corps humain.
Des scientifiques ont annoncé que ce type de bactéries capables de tirer profit de l‘antibiotique, tout comme le sol et les déchets. En étant absorbées par les gens, elles ont tendance à évoluer plus facilement, et à acquérir de nouvelles fonctionnalités non préalablement étudiées par les spécialistes de la santé publique.
En poursuivant l’étude de ces enzymes qui parviennent à nourrir la Pénicilline, il apparait nécessaire de fournir une solution rapide à ce qui pourrait envenimer ce problème de santé publique, mais aussi de développer des produits qui élimineraient ces bactéries des surfaces communes, tels que les poignées, les sols et les déchets en contact direct avec les êtres vivants.
L’Organisation mondiale de la santé continue d’envoyer aux gouvernements du monde entier la liste des bactéries les plus dangereuses, des symptômes et des manifestations internes, non étudiés pleinement à ce jour. Elle incite les systèmes de santé ainsi que la science à la création et à la prévention. Dans l’objectif de réduire le nombre de décès annuels (700.000 personnes), en raison de l’inefficacité des antibiotiques, la science répond déjà aux demandes qu’elle a catégorisées en trois stades : critique, moyen et élevé. Visitez notre site web ICI